Silver Spring, Maryland, United States | Andrew McChesney and ANN Staff

Francis Warren Wernick, ancien vice-président de la Conférence Générale est mort paisiblement après une longue maladie à 2 heures Sabbat matin, 11 avril.

Wernick s’est fait la réputation d’un dirigeant gentil, doux et spirituel ainsi qu’un bon auditeur en 43 ans au service de l’église.  Sa carrière a commencé quand il s’est marié et fut diplômé de l’Union College le même jour en 1942 et a immédiatement déménagé au Dakota du Nord pour œuvrer en tant que pasteur d’église.

Après le Dakota du Nord, Wernick a servi en tant que pasteur dans des églises en Pennsylvanie et Ohio avant d’accepter une invitation à devenir président de la Fédération des Églises Adventistes de l’est de la Pennsylvanie en 1958. Il a plus tard servi en tant que président des fédérations de l’Ohio et de l’Orégon et président de la Fédération de Lake Union, avant d’être élu vice-président de la Conférence Générale, un poste qu’il a occupé jusqu’à sa retraite en 1985.

À la retraite, Wernick est resté actif dans le travail de l’église, servant en tant que premier ancien, premier diacre et moniteur de l’École du Sabbat à l’Église Adventiste de Triadelphia dans la région de Washington D.C,  a déclaré William Fagal directeur adjoint du « Ellen White Estate », où Wernick a servi en tant que fudiciaire. Quand Fagal a déménagé dans la région, il a commencé à aller au temple « Triadelphia » après que Wernick  se soit présenté à sa porte avec un panier de légumes cultivés à la maison et une invitation.

Adventiste du Septième jour toute sa vie, Wernick est né le 24 janvier 1920, à Lake City, Iowa, fils de Irving et Olive Wernick. Il laisse sa femme, Mary Sue, 95 ans, trois enfants : Brenda Flemmer de Burtonsville, Maryland ; Robert Wernick d’Ooltewah, Tennessee et Carolyn Jimenez d’Ooltewah, Tennessee ; sept petits-enfants et trois arrière-petits-enfants.

« L’ancien Francis Wernick était un dirigeant de confiance merveilleusement solide dans l’église de Dieu » a déclaré le président de la Conférence Générale Ted N.C. Wilson. « Il a pris son rôle de dirigeant spirituel très au sérieux et il aimait le Seigneur et Son œuvre. »

« C’était un tel privilège de collaborer avec lui en tant que dirigeant quelque soit le niveau où il exerçait parce qu’on savait qu’il voulait simplement le meilleur pour l’église du reste de Dieu » a confié Wilson. «  Bientôt nous le verrons au retour de Jésus, quelque chose pour lequel l’ancien Wernick vivait et attendait avec impatience. Malgré tout, viens Seigneur Jésus ! »

Traduction : Carole et Charles SAINT-LOUIS 

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